Newsflex.de : votre cd "invasion der Killerpilze" vient juste de sortir dans le commerce et vous êtes déjà bien placé dans les Charts ...
Fabi : C’est sûrement bien, mais nous voulons seulement que les gens nous connaissent. Notre but n'est absolument pas d'être numéro un des Charts. Naturellement, c'est un effet secondaire agréable. Mais en faite, nous voulons simplement jouer de grandes scènes et shows devant beaucoup de personne. C'est vraiment le meilleur car nous sommes des musiciens.
Newsflex.de : vous jouez ensemble depuis déjà trois ans.
Fabi : Exactement, nous allions tous dans la même école - Jo, Schlagi et Mäx étaient dans la même classe et ont donc fait connaissance. Mon frère plus âgé Jo m'a alors proposé de rejoindre le groupe.
Newsflex.de : au début, le magazine pour jeune "Bravo" a beaucoup parlé de vous. As-tu vu tous les articles ou il parlait de vous ?
Fabi : La plupart oui! Nous étions vraiment très fiers de faire la couverture de "Bravo" et de "Yam". Au début, c'était assez étrange de se voir sur une page de magazine et de lire des textes sur sa propre histoire, mais on s'y habitue.
Newsflex.de : Qu'as-tu fais des magazines ?
Fabi : j'ai un mur de Killerpilze dans ma chambre. Dessus j'accroche tout ce que je reçois sur moi-même et le groupe. Flyer, poster, cartes postales, et cetera. C’est déjà presque rempli! Mais honnêtement, nous ne poursuivons pas tous les journaux : Nous ne nous trouvons pas le matin vers 7 heures dans le magasin de revue pour dégotter la première sortie.
Newsflex.de : "Killerpilze" sonne un peu comme un film d'horreur. Comment vous êtes venus à ce nom si extraordinaire ?
Fabi : l'explication est beaucoup plus profane : Alors que je commandais une pizza Funghi chez l'Italien, les champignons immenses se trouvaient dedans. J'ai alors dit "Ce sont vraiment des tueurs" et soudain nous avions le nom.
Newsflex.de : On vous pose certainement souvent la question sur votre nom!
Fabi : Oui, avec la question sur la compétition avec Tokio Hotel. Des journalistes veulent nous comparer sans cesse. Mais nous faisons de la musique complètement différente. Nous sommes rockers de Punk avec des influences de Métal, et eux ils font de la Pop. Bien sur, l'âge des membres du groupe est semblable, et nos deux groupes sont actuellement dans les médias. Mais nous ne voulons aucune comparaison.
Newsflex.de : Les considérez-vous tout de même comme des concurrents ?
Fabi : Non, nous accordons leur succès aux garçons, car ils font leur musique. Nous les avons rencontré déjà quelques fois et nous nous entendons vraiment bien avec eux.
Newsflex.de Avez-vous les mêmes fans : ?
Fabi : Oui, je pense que les Fans écoutent les deux. Mais sûrement, il y a aussi plusieurs qui trouvaient Tokio Hotel bien et maintenant nous parce qu'ils se font influencer par les médias. Enfin, chacun peut aimer qui il veut.
Newsflex.de : Que fais-tu pour ne pas perdre la tête par rapport à votre succès ?
Fabi : j'ai autour de moi des gens qui me font garder les pieds sur terre, que ce soit les parents ou de bons amis. A la maison, je ne suis plus Fabi de Killerpilze, mais le Fabi tout à fait normal, comme deux ans auparavant. Je suis content de pouvoir être normal parfois et aussi à d'autre moment de faire des scènes avec Killerpilze.
Newsflex.de : que disent vos parents sur votre carrière ? Sont-ils inquiets à cause de l'école ?
Fabi : au contraire : nos parents nous ont toujours soutenu toujours à faire continuellement des scènes. Sans eux, nous n'en serions pas là aujourd'hui. Ils se réjouissent beaucoup de notre succès. Nous voulons tous les quatres finir l'école car on ne sait jamais ce qui pourrait arriver, si la musique ne marchait plus. L'école permet une certaine pause dans le dur business. C'était naturellement aussi une condition de nos parents. Si l'école se passe bien, nous pouvons faire la musique. Et ça se passe réellement très bien.
Newsflex.de : Tu es dans la 7ème classe d'un lycée. A cause des scènes, tu manques sûrement des matières importantes...
Fabi : l'école et les Killerpilze doivent être strictement séparés. Pendant les week-ends et les vacances, la musique est prioritaire, mais la semaine ces sont les leçons.
Newsflex.de : Vous avez environ plus de 80 scènes derrière vous. Comment ça ce fait ?
Fabi : au début, nous jouions naturellement seulement dans nos alentours. Avec le temps, le cercle s'est élargi, et maintenant, nous jouons dans toute l'Allemagne. C'est vraiment super. Et avec chaque scène, la nervosité faiblit et la routine grandit.
Newsflex.de : Tu es en tant que batteur toujours un peu à l’arrière-plan. Aimerais-tu avoir plus d'attention ?
Fabi : Non, cela a toujours été mon rêve de m'asseoir à la batterie. Depuis que le groupe a été fondé, je joue de cet instrument. Mais seulement maintenant, je prends de véritable leçon. Avant c'était plus comme un jeu. Et quand je ne savais pas comment faire, je me renseignais simplement auprès de copain.
Newsflex.de : Quelle est la chose la plus étrange qui ait volé sur scène ?
Fabi : En général, les fans jettent en masse des peluches. Nous avons réfléchi à qui donner tout ça. Car il y en a tellement que nous ne pouvons pas tout garder. Mais nous aimerions les donner à des enfants défavorisés.